Encarnación
Je ne parle pas bien sûr de JMLP, dont je me garderais bien de faire le deuil, ses idées nauséabondes rétrogrades ayant malheureusement fait leur bout de chemin dans la France d’aujourd’hui (on peut même évoquer une pandémie mondiale). Car si une partie de la jeunesse continue d’em***der le Front National (souvenirs émus des magnifiques manifestations de juin 2002), un tiers des 18-24 ans vote désormais pour un parti populiste et raciste.
Non le titre fait référence à l’écran de mon téléphone qui, à l’instar de ma liseuse il y a déjà un an, et malgré diverses protections théoriquement fiables, a décidé que sa 176ème chute serait celle où il rendrait l’âme. Alors pas complètement, une simple tâche noire sur le coin supérieur droit. Ce qui en soit ne me pose aucun problème, si ce n’est que les capteurs de pression sont désormais complètement chamboulés. L’inconvénient d’un écran tactile…
Il suffirait de changer ce dernier, cela va de soi. Sauf que je suis au Paraguay, et que j’ai eu la bonne idée de partir avec certes un excellent « photophone », puisque c’était mon critère d’achat numéro 1, mais surtout avec un modèle excessivement rare. Et donc impossible de trouver la pièce, malgré la bonne volonté des réparateurs. Quant à en racheter un (ce qui me pose quand même un petit cas de conscience), là encore ce n’est pas simple, seul un revendeur propose quelques modèles reconditionnés à Asunción, où je me rends dans trois jours. Sachant que mes prochaines destinations sont l’Équateur puis la Colombie, ce ne sera de toute façon sans doute pas mieux. Ça m’aurait arrangé que ça arrive à Buenos Aires ou à Rio…
En attendant j’ai toujours mon téléphone bis acheté pour le Brésil, puisqu’il n’a finalement pas été volé. Et puis je peux malgré tout continuer de prendre des photos avec l’écran cassé, même si la problématique responsivité tactile est particulièrement gênante. C’est ainsi. Après tout il y a dix ans j’étais parti sans téléphone (mais avec un vrai petit appareil photo compact). Une autre époque. Allez, une minute de silence, et on n’en parle plus.
Bizarres ces figues. Quand à l’oiseau, ça ressemble fort à un héron, mais sans doute une espèce de par là-bas.
Sans doute de la même famille que nos figues, mais celles-ci poussent en grappe à même le tronc des arbres, ou bien à leur pied comme ici. Sans doute du parasitisme. Je n’ai pas goûté… 🙂