Pulau Perhentian Besar
Bercé par les vagues depuis le fond de mon hamac, à l’ombre des filaos (bien plus efficaces que les cocotiers), je passe en revue ces derniers mois de voyage, si riches d’histoires et d’images. Puis je pars piquer une tête dans le lagon, en quête de petits requins. Retour au hamac. Il s’agit désormais de réfléchir aux vadrouilles suivantes, les dilemmes sont nombreux tant le monde est vaste. Tiens, et si j’allais me dégourdir un peu les jambes dans la jungle, peut-être apercevoir quelques singes ou varans. Des écureuils aussi à défaut, c’est toujours marrant. Retour au hamac, devenu le centre de mon nouvel univers insulaire. Avec un petit milkshake à la mangue, la pause fraîcheur de cette fin de journée. Pour la bière, c’est un peu sous le manteau, pays musulman oblige. Coucher de soleil, dans le dos, le petit inconvénient d’une plage orientée sud-est (et l’aube à 6 heures, bon, faut être motivé). Un petit coup d’anti-moustiques, et c’est parti pour le BBQ les pieds dans le sable.
C’est bon, j’ai suffisamment dégouté tout le monde ? Demain je pars en bateau explorer les coraux un peu plus loin. Vous venez ?
Le Chat Poté ?
Mais oui, évidemment, pas pensé ! 🙂
Au début, j’ai cru que c’était un cours de tennis… et sans grillage, je me suis inquiété pour les ramasseurs de balle. Mais pour les ramasseurs de volants, ça doit fonctionner.
Je crois que le terrain du haut c’était bien un terrain de tennis, faudra que j’aille vérifier. Oui la jungle doit effectivement récupérer quelques balles…
On n’a pas trop envie d’enfreindre l’interdit avec un panneau pareil : deuxième photo !
Oh bah j’ai l’impression que c’est le panneau de base « propriété privée » ici, je l’ai déjà croisé quelques fois… 🙂