→ Arambol (Goa)
Après Pondichéry la Française, voici Goa la Portugaise. Encore un beau contraste avec le reste du pays. Ici les touristes étrangers sont (presque) plus nombreux que les locaux. Longtemps repaire de hippies amateurs de substances illicites (qui demeurent à Goa tout aussi illicites que dans le reste de l’Inde, mais avec une certaine tolérance. Au pire, un solide bakchich devrait faire l’affaire…), les chevelus laissèrent peu à peu la place dans les années 90 aux amateurs de musique électronique : c’est ici qu’est née la trance psychédélique, excusez du peu. Évidemment aujourd’hui le tourisme de masse est devenu la norme, notamment russe, anglo-saxon, et désormais indien, mais les plages ne manquent pas : 100 kilomètres de côtes sublimes pour ce petit État, un village, une ambiance, faites bien votre choix ! Cerise sur la rave party : l’alcool est consommé ici sans modération, et à des tarifs à faire baver d’envie tous les soiffards européens.
Eh bien je crois qu’il ne me reste plus qu’à aller siroter un petit cocktail sur un transat, envoyer promener les dizaines de vendeurs ambulants (de la barquette de fraises aux flûtes en bambou en passant par les classiques tatouages au henné), puis piquer une tête dans une eau à 29°C. Et recommencer.






29Comme a Aqua Vita mais certainement un cadre beaucoup plus beau profite bien ce sera des fameux souvenirs gros bisous
C’est quoi ta boisson ? Sur la photo ça ne fait pas trop envie.
Un classique mojito ! Rhum, citron, menthe, eau gazeuse, sucre de canne. Pas du tout local…