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Paradis tropical (ça faisait longtemps)

Sydney → Nadi – 4 h de vol

Une fois n’est pas coutume, me voici en route pour un nouveau paradis tropical. Encore, me direz-vous ? N’as-tu pas eu ton content de plages de sable fin, de cocotiers et de fonds marins colorés ? La réponse est non. Mais peut-on seulement en avoir assez ?! Eh bien tout dépend de vos goûts j’imagine. Si vous êtes allergiques à la chaleur humide, si les moustiques vous portent sur les nerfs, si vous êtes sensibles à la tourista, si vous ne voyez un intérêt aux fruits exotiques qu’en jus pasteurisé, la vaste zone du globe comprise entre Cancer et Capricorne ne devrait effectivement pas être votre meilleure amie.

Et donc, sur quel paradis insulaire mon choix s’est-il porté cette fois ? Il faut dire que l’immensité du Pacifique Sud héberge des myriades de confettis (entre 20 et 30 000 pour être un poil plus précis) tous plus instagramables les uns que les autres. Plouf plouf, ce sera toi ? Pas vraiment. J’avais quelques critères bien précis en tête : des beaux fonds marins pour la plongée et le snorkeling (à ce niveau-là il n’y a globalement que l’embarras du choix) ; quand même de quoi me dégourdir les jambes dans la jungle, avec tant qu’à faire un chouia de relief (ce qui élimine les bancs de sable) ; une culture poly/micro/méla-nésienne pas trop abîmée par la colonisation européenne (une gageure ?) ; et un coût de la vie raisonnable (ce qui élimine un peu la Polynésie, dommage). Ok, je mélange donc tout ça, et j’obtiens… suspense… les Fidji ! Allez…

Hmm, c’est bien joli tout ça, mais les Fidji, c’est un archipel de plus de 300 îles, une idée un peu plus précise derrière la tête ? Honnêtement, non. Du moins pas pour le moment. J’ai prévu quelques nuits à Nadi, la troisième ville du pays (où l’on trouve le principal aéroport international), un hub cosmopolite qui me permet ensuite d’aller où je veux. Il faut bien démarrer quelque part. L’idée étant ensuite de partir en quête du spot ultime où poser mes bagages quelques semaines / mois. Je ne doute pas de le trouver. Les autorités fidjiennes m’accordent généreusement un visa touristique de 4 mois. Je connais au moins ma date limite de retour…

4 Comments

    • Vadrouilleur

      L’eau étant chaude, il vaut plutôt mieux se déshabiller ! De toute façon même le Gore-Tex ne fait pas le poids sous un déluge tropical ! :p

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