Iboih
D’ici quatre jours, je serai à près de 2 000 km de la mer la plus proche. Alors en attendant, je profite au maximum des eaux chaudes de l’océan Indien. Et ça tombe bien, à Pulau Weh ces eaux sont encore riches d’une incroyable biodiversité.
Pourtant les fonds marins ont morflé en 2004, au même titre que la surface, et la plupart des récifs ont été anéantis. Mais 20 ans plus tard, profitant des puissants courants de l’océan s’engouffrant dans la mer d’Andaman et le détroit de Malacca, la vie est revenue. Rajoutez à cela une destination encore plutôt préservée du tourisme de masse : les 16 heures de minibus pour y accéder n’y sont pas étrangères. Bon un aéroport est désormais présent sur l’île, il ne faut donc plus traîner pour profiter de la quiétude des lieux, qui ne sera peut-être bientôt plus qu’un souvenir…
En tout cas pour le moment à Iboih, ce ne sont que quelques bungalows sur pilotis qui s’étagent sur la colline couverte de jungle dominant la baie rocheuse. Plus un petit village où la modestie vestimentaire est de mise, on est loin des full moon parties thaïlandaises… Une plage minuscule encombrée de bateaux. Et surtout une eau cristalline abritant des centaines d’espèces de poissons tropicaux. À contempler des heures durant. Voilà pour le programme de ce dernier spot indonésien.


Beau programme !
Je trouve aussi…
Un petit parfum de vacances .. ce qu’il faut pas lire 🤣
Bah quoi, certaines destinations font plus vacances que d’autres… Insinuerais-tu que je suis H24 en vacances ? :p
Je serais assez d’accord avec Stéphanie…
C’est une cabale !