George Town (Penang)
George Town, île de Penang, mai 1850. Dans les étroites ruelles du quartier chinois de la dynamique colonie britannique, le commerce de l’opium bat son plein. Il ne fait pas bon s’y retrouver seul à la nuit tombée, sauf à fréquenter les nombreux bordels qui émaillent ses rues. C’est dans un de ces lugubres établissements que travaille Kebaya, une belle nyonya (métisse sino-malaise) pas épargnée par la vie. Mais un soir, Kailash, le fils désœuvré d’un riche négociant indien, pousse la porte de La Dame de Cœur. Le destin de ces deux jeunes gens en sera changé à jamais.
De la romance. Pour Kailash et Kebaya, c’est le coup de foudre immédiat. Mais c’est oublier un peu vite que Kailash est promis depuis sa plus tendre enfance à Zarina, la fille d’un imam influent de la communauté malaise. Réussira-t-il à se libérer de cet engagement sans provoquer le courroux de son père ?
Du suspense. Le vil Lord Rankin, propriétaire de l’ombre de La Dame de Cœur, acceptera-t-il de laisser partir Kebaya, alors que c’est l’une de ses meilleures gagneuses ? De plus il se pourrait qu’il se soit secrètement entiché d’elle !
De l’action. Kailash doit venir en aide à son ami Xiaobo, dont le clan est menacé par les perfides Chew, qui veulent continuer d’étendre leur vaste territoire. Et c’est tout George Town qui risque alors de s’embraser.
Vous avez aimé Les Lions de Singapour ? Vous avez vibré devant Intrigues à Malacca ? Alors ne manquez surtout pas la conclusion de la Trilogie britannique dans Les ombres de Penang. Très bientôt dans toutes les salles.




























Dans l’esprit j’ai tendance à préférer le street art aux temples et églises partout. Beaucoup moins meurtrier…
En soi les églises et les temples n’ont rien de meurtrier, ce sont juste certains de leurs fidèles… 🙂
Exactement comme les armes à feu… J’exagère peut-être un peu, mais… C’est des éléments de pouvoir en tous cas.
Certes. Mais c’est aussi parmi les plus belles choses bâties par les humains ! Tout un paradoxe… :p
En fait ce n’est pas les églises ou les temples que je n’aime pas, c’est l’utilisation que l’humanité a pu en faire… C’est sans doute l’humanité qui m’agace un peu.
Ah ça l’humanité est agaçante, on est d’accord !