Tikhedhunga → Nayapul → Pokhara – 2 h 45 de marche puis 1 h 30 de bus
Voilà, un dernier réveil matinal au chant des oiseaux. Un dernier copieux petit déjeuner de champion. Un dernier laçage douloureux de chaussures (les profondes ampoules sont évidemment toujours là). Rapidement, le sentier se transforme en piste cahoteuse. Puis en route bétonnée. Puis en route asphaltée. Les passerelles suspendues laissent la place à de solides ponts. Avant d’avoir pu réaliser, je me retrouve au milieu de la rue commerçante d’un bourg. J’ai arrêté de saluer les passants, sous peine de passer pour un fou. Et me voilà happé dans un bus bondé pour rejoindre Pokhara non loin, la deuxième ville du Népal. Où je suis immédiatement hélé par les taxis, les commerçants, les restaurateurs, les dealeurs, les mendiants. La parenthèse au grand air se referme, la pollution et la civilisation sont de retour. Pour la plupart des voyageurs, c’est l’occasion de faire un peu de shopping et un dernier bon dîner avant de sauter dans l’avion que les ramènera chez eux. Pour moi, une incroyable aventure se termine, mais l’aventure continue, magie du voyage au long cours. On remet ça quand tu veux !














Dur , le retour à la civilisation ! Est-ce vraiment ça la civilisation ?
C’en est une forme à tout le moins…
Je cherche du bois pour cet hiver. C’est combien le stère là-bas ? En plus joliment empilé.
Je me renseigne. Je ne sais pas si ils livrent par contre, il faudra peut-être venir avec une remorque…
J’ai peur d’être un peu limité pour le transport en soute. Ou alors, ça va me couter cher ? Je ne comprendrais pas, on achète tellement de trucs qui viennent de ces contrées pour une bouchée de pain.
Un bon container… Faut juste anticiper un peu plus !