Séville → San Fernando (en train) → Vejer de la Frontera (à vélo) – 55 km
Ça y est, je me rappelle pourquoi j’avais dit « plus jamais ça » ! Le vent de face bien sûr !
Et là, ceux qui ont suivi le périple précédent, je vous vois venir : « Ouiii, il est encore parti dans ses délires sur le vent, gna gna gna… ». Eh bien croyez-le ou non, déferlante de vent de face, bim, premier jour !
Puis je m’étais dit : « Tieeens, Vejer, ça a l’air sympa, un village blanc perché sur sa colline, pourquoi je n’irais pas squatter là-bas ? ». J’aurais peut-être dû me répondre : « Tu tiens vraiment à finir sur les rotules dès le premier jour de vélo ? ».
Donc j’ai mal. Et la lancinante question : « Mais pourquoi je ne suis pas juste parti plonger en Asie ? » est de retour.
Oui mais…
Oui mais c’est tellement chouette d’arpenter à nouveau les routes, libre comme l’air (sous le soleil, pour ne rien gâcher). Et d’apprécier la vue après l’effort. Et la douche.
Bon là comme ça je n’ai rien d’autre, mais ça va revenir, en même temps que ma forme. Le vélo, soit dit en passant, est au poil, très content de cette nouvelle version. Nan pour l’instant le problème c’est plus le bonhomme qui pédale…
https://fr.cowboy.com/pages/adaptive-power?_ga=2.226410010.1298856084.1679474755-2079895926.1679474755
Ah ah, mais c’est triché ça ! Et le plaisir d’en chier alors ?