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Tudo bem, le retour

Florianopolis

Me voici donc au Brésil. Autant pour la plupart des gens (moi compris), l’Uruguay ne devait pas évoquer grand-chose, autant le Brésil, c’est nettement plus parlant ! Samba, capoeira, carnaval, favelas, Rio, Amazonie, et bien sûr caïpirinha… Le pays fait briller les yeux de nombreux amateurs de voyage. Longtemps refroidi par l’insécurité qui malheureusement y règne, j’ai fini par me dire que ce serait dommage de me priver d’un tel paradis juste par peur de me faire chourave mon téléphone. Bon dans le doute, j’ai tout de même acheté un second smartphone bas de gamme « spécial voleurs », prêt à disparaître à tout moment sans aucun remord. Et sait-on jamais, s’il survit à ce bout de voyage, il pourra remplir le même office en Colombie, au Honduras…

Que voir au Brésil ? La liste est potentiellement très longue. Je vais donc me contenter de picorer quelques « immanquables » (pas de spoil), ça me laissera la possibilité de revenir au besoin. Et comme évoqué hier, ce n’est pas comme si on avait affaire à un petit pays. Tout de même deux célèbres absents de mon programme : la jungle amazonienne, à savoir la plus grande forêt tropicale du monde, déjà car ce n’est pas vraiment la bonne saison, ensuite car j’ai déjà eu la chance de m’y balader il y a 10 ans (mais j’y retournerais bien quand même !) ; et le Pantanal, la plus grande prairie inondable du monde, là encore pour une histoire de mauvaise saison, dommage. Même si pour le Pantanal, j’avoue me tâter encore un peu, on verra bien !

Une petite frustration ? Sur ce vaste continent qu’est l’Amérique, quatre langues sont parlées. J’en connais trois : le français, l’anglais et l’espagnol (même si je suis encore loin de m’exprimer parfaitement dans cette dernière). Mais au Brésil, je ne vous apprends rien, c’est le portugais qui règne. Tant pis, on fera quand même avec l’espagnol (de toute façon nettement plus parlé ici que l’anglais). Note pour les puristes : le néerlandais est aussi très légèrement utilisé sur le continent, au Suriname (600 000 habitants) et sur quelques îles des Antilles. Bon…

Une anecdote ? Pour rentrer au Brésil, j’ai donc pris un bus nocturne de Punta del Este à Porto Alegre. J’imaginais devoir me réveiller en pleine nuit pour franchir la frontière, ce qui ne m’enchantait guère, mais faut ce qu’il faut. Sauf que non. Les passeports de l’ensemble des passagers du bus sont récupérés au départ. Et restitués au petit matin, avec deux nouveaux tampons. Quand on peut faire simple…

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